Récemment a eu lieu, à l’Euroairport de Bâle-Mulhouse, une rencontre de 140 représentants de l’usine du futur dans le cadre du campus Industrie du Futur initié par la CCI d’Alsace et Rhenatic.
La dénomination diverge selon les pays : en Suisse l’on parle de „Industrie 2025″, en Allemagne de“Industrie 4.0″, en France d'“Industrie du futur“, et l’évolution de l’industrie vers le numérique diverge également selon les pays.
Pour l’Alsace, la directrice de PSA Mulhouse , Corinne Spilios, a décrit la plateforme collaborative Novatech que le constructeur automobile développe pour les start up, TPE et PME. En France, l’on s’appuie sur le consortium et les filières.
En Suisse, le réseau créé par Vinci, Actenium, est chargé du futur dans l’industrie en développant des casques intelligents qui intègrent des fonctions de réalité augmentée. En Suisse, les projets sont axés sur des objectifs très concrets.
En Allemagne, l’industrie se base beaucoup sur les „Mittelstand“ de grosses PME ou ETI dans la cadre d’une opération nommée „100 vitrines“ destinée à faire progresser l’industrie 4.0. Ici l’on s’appuie sur les pratiques collaboratives très ancrées entre l’industrie et la recherche.
Source : L’usine Nouvelle du 22.04.16
Information : www.rhenatic.eu