L’étude distingue deux types de mobilité : la mobilité professionnelle ayant pour objectif l’amélioration de compétences professionnelles et la mobilité apprenante s’ouvrant elle sur des aspects comme l’apprentissage personnel, social ou émotionnel. Pour une majorité de jeunes, les motivations pour partir plurielles : l’expérience personnelle et la découverte d’une autre culture, encore plus que l’apprentissage d’une langue ou l’expérience professionnelle. Après leur période à l’étranger, plus de 80% des jeunes indiquent que cette mobilité a été enrichissante en leur apportant, respectivement, une plus grande ouverture d’esprit, des éléments dans le cadre de leur développement personnel mais aussi des compétences linguistiques et professionnelles.
Pour les acteurs de la mobilité, quant à eux, une mise en réseaux semble très importante afin de favoriser la mobilité. Cette mise en réseaux devrait avoir lieu à plusieurs niveaux : un réseau local permet l’échange d’expériences et la mise en commun des ressources, alors qu’un événement annuel global au niveau de la nouvelle région permettrait de nouer de nouveaux contacts. Animant des réseaux thématiques avec des différents types d’acteurs, l’Eurodistrict PAMINA, à son niveau, travaille déjà dans le sens de ces recommandations.
L’étude complète est disponible ici :
Source : www.eurodistrict-pamina.eu